Vanité des vanités !

Vanité ! Vanité ! Et poursuite du vent !
Paroles d’un homme, qui fut sage en son temps
Posséder des richesses, qu’un jour on laissera
Amène réflexion, sur la vie d’ici-bas.

L’homme nu en naissant, s’en va nu en mourant
Il ne peut emporter, ni maison, ni argent
Pour sauver son âme, et payer son rachat
Cela ne sert à rien, pour Dieu ne compte pas.

Ce monde fascinant, peut éblouir nos yeux
Nous séduire et surtout, nous éloigner de Dieu
Vouloir le gagner, pour perdre son âme
C’est exposer sa vie, au pire des drames.

Comme cet homme sage, reconsidère ta vie
À la lumière d’en haut, qui te dis : Réfléchis !
Cherche les vraies valeurs, que tu conserveras
Et devant le Seigneur, oui, cela comptera.

Vanité ! Vanité ! En Jésus j’ai compris
Maintenant éclairé, je chemine avec lui
Possédant ses richesses, le plus beau des trésors
Qui m’accompagnera, au-delà de la mort.

Lecture : Ecclésiaste 1 v 2 :

« Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité ».

Les réflexions de cet homme étonneront certainement plusieurs, dans un monde où l’on recherche, richesse et gloire ! En effet quand il fait l’inventaire de ce qu’il possédait, avec toutes ses réalisations : « J’exécutai de grands ouvrages : Je me bâtis des maisons ; je me plantai des vignes ; je me fis des jardins et des vergers…je me créai des étangs…j’achetai des serviteurs et des servantes…je m’amassai de l’argent et de l’or, et les richesses des rois et des provinces…je devins grand…Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les ai point privés… » (2 v 4-10).
Il nous rappelle que cette terre avec toutes ses richesses, ne peut satisfaire notre âme ; elle a besoin d’une rencontre avec le Créateur.
La Bible n’est pas contre les richesses, mais elle nous met en garde, contre son pouvoir qui pourrait nous détourner de Dieu. Le livre des proverbes nous en parle : « Car la richesse ne dure pas toujours » (27 v 24). Et elle s’arrête pour tous lorsqu’arrive l’heure du départ : « Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s’en retourne nu ainsi qu’il était venu, et pour son travail il n’emporte rien… » (Ecclésiaste 5 v 14).
L’Évangile nous parle de la rencontre d’un jeune homme riche avec Jésus-Christ : « Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-moi. Après avoir entendu ces paroles, le jeune homme s’en alla tout triste ; car il avait de grands biens » (Matthieu 19 v 21-22).
Pour cet homme les richesses de la terre prévalaient sur celles qui sont éternelles : Le salut de son âme, le pardon de ses péchés. Ne nous trompons pas de richesses !

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