Plus près de toi !

Qu’il est bon d’habiter, dans ta maison Seigneur
L’Éternel des armées, près de toi je demeure.
Ô ! Mon Dieu je soupire, et languis après toi
Mon cœur te célèbre, pousse des cris de joie.

Mes appuis sont en toi, et mon chemin tracé
La vallée de Baca, que je dois traverser
Devient une source, pleine de bénédictions
Me poussant à chanter, des chœurs d’adoration.

Écoute ma prière, Éternel des armées
Car tu es ma force, tu es mon bouclier
Un seul jour près de toi, vaut mieux que mille ailleurs
Le seuil de ta maison, que les riches demeures.

Et tu es mon soleil, ma vie s’est éclairée
Tu ne refuses rien, quand règne la piété
Éternel des armées, je me confie en toi
La grâce et la gloire, viennent du Roi des rois.

Mes forces se renouvellent, alors que je marche
Toi le Dieu de Jacob, Dieu des patriarches
Je vais dans ta maison, c’est là que je suis bien
Par ta visitation, de l’Esprit je suis oint.

Lecture : Psaume 84 v 2-3 :

« Que tes demeures sont aimables, Éternel des armées ! Mon âme soupire et languit après les parvis de l’Éternel ! »

Ce psaume est attribué aux fils, de Koré, mais nous remarquons que la louange et la louange est au singulier, ainsi que la prière ; nous rappelant ainsi, que chaque enfant de Dieu peut et doit personnellement exprimer sa reconnaissance envers son Sauveur.
Le psalmiste expérimente la même joie que David : « Je suis dans la joie quand on me dit : Allons à la maison de l’Éternel ! » (Psaume 122 v 1). Et comme lui, il associe le singulier et le pluriel à la maison de Dieu. L’Église c’est le rassemblement des croyants, où chaque membre doit personnellement se positionner devant Dieu. Quelle grâce en effet de pouvoir aller dans la maison du Seigneur pour entendre sa voix, par la prédication et par les dons spirituels ; être enseigné, instruit et exhorté.
C’est en parlant de la maison de Dieu, que cet homme réalise son privilège : « Heureux ceux qui habitent ta maison ! Ils peuvent te célébrer encore- Pause » (v 5). Aller dans la maison de Dieu, c’est une pause bénie pour nos âmes, et la bénédiction quand nous y joignons : « Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés » (v 6). Et la suite nous rassure, quand se présente à nous la vallée de Baca (vallée des pleurs) ; nous avons la capacité par la foi de la transformer en bénédictions (v 7).
À retenir également : « Leur force augmente pendant la marche » (v 8). Un appel à marcher, et marcher encore !

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